2/ De la Renaissance à la Révolution kantienne, Cyril Morana, Etienne Akamatsu, Henri Dilberman, Pierre Landou et alii, « 50 fiches de philosophie antique », Bréal, 2012. En particulier en Europe, cette histoire comprend les grandes figures Grecques de la philosophies (Socrates, Platon, Aristote) et leurs écoles. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Aristote examine donc les pensées des premiers philosophes[1]), mais il les déforme[réf. Deux points de vue opposés peuvent être dégagés : l'histoire de la philosophie est conçue soit comme marche vers la vérité, soit noyée dans le relativisme. Selections. Toutefois, à une époque de plus en plus marquée par les avancées scientifiques et par l'idée du progrès chère aux Lumières, le positivisme (Comte) va faire son apparition, condamnant la métaphysique au bénéfice des sciences ; Comte invente d'ailleurs une science nouvelle : la sociologie. Celui des années 60 le fera en deux volets : la connaissance, l'action, « Ce que la scolastique nous a légué de plus utile, c'est peut-être cette précision [...]. « Lhistoire est le processus … l’histoire de la philosophie désigne tous ces courants de pensée qui caractérisent la philosophie au travers des âges. C'est en partie ce qui explique que cette époque se caractérise d'abord, sur le plan littéraire et philosophique, par un vaste courant de réappropriation des auteurs anciens, qui place au centre de ses préoccupations l'acquisition du savoir pour que l'être humain développe pleinement ses facultés : il s'agit de ce qu'on appelle l'humanisme. La cohérence de la philosophie au point de vue de son histoire[Quoi ?] La philosophie et l’histoire peuvent-elles être pensées ensemble sans que l’une ou l’autre ne disparaisse ? Par ailleurs, à partir du XVIIIe siècle, la philosophie se détache peu à peu des sciences positives, plusieurs de ses branches devenant des disciplines autonomes (ainsi la science politique, la logique mathématique et la biologie[9]). Schopenhauer mettait en avant la puissance et la domination de la volonté sur la raison en se basant sur la philosophie indienne ; sa vision du monde pessimiste, marquée par l'expérience de la souffrance, s'inspire des idées bouddhistes. L’histoire est matérialiste : elle est l’histoire de la lutte des classes (économiquement définies) Le travail libère l’homme (reprise de la dialectique maitre/esclave) La division du travail et la loi de l’offre et la demande => on ne vend plus son travail mais sa force de travail (l’homme